On s’habitue à tenir bon. À tout gérer, à comprendre, à rassurer les autres — même quand on est fatigué·e.
On s’habitue à tenir bon.
À tout gérer, à comprendre, à rassurer les autres.
On avance, même quand la fatigue s’installe.
Certaines personnes vivent ainsi depuis longtemps.
Elles savent faire face, s’adapter, trouver des solutions.
Mais à force de tout porter seul·e, on finit par sentir que quelque chose s’épuise à l’intérieur.
Il ne s’agit pas d’un grand effondrement, mais d’une fatigue plus discrète :
celle d’être toujours en alerte, de ne jamais pouvoir relâcher vraiment.
Le corps tient, la tête continue, mais le calme ne revient pas.
Dans mon approche, on prend le temps de parler simplement de ce qui devient trop lourd à porter.
Les séances se font en ligne, avec la souplesse nécessaire pour s’accorder un moment pour soi,
même dans un rythme de vie chargé.
Pour beaucoup de personnes qui vivent entre plusieurs univers — langues, cultures, contextes —,
ce réflexe de “tenir bon” s’est installé depuis longtemps, presque sans s’en rendre compte.
Parler de ce qu’on retient ouvre souvent déjà un peu d’espace à l’intérieur.
Si vous vous reconnaissez dans ces mots, vous pouvez demander un premier contact.
Je vous rappellerai pour un échange bref oar téléphone afin de voir si un accompagnement ensemble peut être indiqué.
Cet article partage des informations générales et des éléments de réflexion. Il ne remplace pas une consultation individuelle, un diagnostic ou un traitement.
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